Révoltée
Rêveuse, les yeux perdus dans l’horizon muet !
La brume persistante enveloppe tes pensées
les protégeant ainsi des regards indiscrets.
Surtout, ne rien leur dire, à quoi bon partager ?
Vivront-ils tes souffrances ? Seront-ils présents
Pour tes défaillances qui te créent tourments ?
Etre l’élue sur dix mille, l’élue de mon cœur !
Oublier l’ange dément, pour un ange aimant,
Méconduite par l’enfer d’avoir crue au bonheur,
Avoir perdu dix ans, ne plus avoir le temps,
N’avoir pas profité et payer l’addition,
A quoi bon retenir, de la vie cette leçon ?
Furieuse, le regard absent et sans prière !
L’ombre se dessine de cette brume endormie :
Cette terre peu fréquentée, deviendra cimetière,
Pour nos âmes en peine, elle, qui promettait la vie !
Bien leur dire à ces hommes de pacotilles,
D’avoir ruiné ce nid, des espoirs de jeune fille. (désespoir de jeune fille)
Qu’importe le fruit offert, ne pas le goutter !
Chaque jour vivre l’enfer par ses tentations.
Recueillie par l’amour si longtemps délaissé,
Vouloir le refouler, et perdre la raison !
Devrais-tu me laisser, pour des bras inconnus ?
A quoi bon partager, avec moi ton corps nu ?
Révoltée, l’esprit vif perdu dans les méandres
D’un horizon lointain, bousculé par la brume
Que même ce dieu soleil finira par attendre,
Et briller en sourdine, comme le ferait la lune.
D’un sourire évanoui, il nous faut être fier
D’un élan solennel, crions notre colère !
Eric 22 novembre 2007 / revu le 27 octobre 2008
Rêveuse, les yeux perdus dans l’horizon muet !
La brume persistante enveloppe tes pensées
les protégeant ainsi des regards indiscrets.
Surtout, ne rien leur dire, à quoi bon partager ?
Vivront-ils tes souffrances ? Seront-ils présents
Pour tes défaillances qui te créent tourments ?
Etre l’élue sur dix mille, l’élue de mon cœur !
Oublier l’ange dément, pour un ange aimant,
Méconduite par l’enfer d’avoir crue au bonheur,
Avoir perdu dix ans, ne plus avoir le temps,
N’avoir pas profité et payer l’addition,
A quoi bon retenir, de la vie cette leçon ?
Furieuse, le regard absent et sans prière !
L’ombre se dessine de cette brume endormie :
Cette terre peu fréquentée, deviendra cimetière,
Pour nos âmes en peine, elle, qui promettait la vie !
Bien leur dire à ces hommes de pacotilles,
D’avoir ruiné ce nid, des espoirs de jeune fille. (désespoir de jeune fille)
Qu’importe le fruit offert, ne pas le goutter !
Chaque jour vivre l’enfer par ses tentations.
Recueillie par l’amour si longtemps délaissé,
Vouloir le refouler, et perdre la raison !
Devrais-tu me laisser, pour des bras inconnus ?
A quoi bon partager, avec moi ton corps nu ?
Révoltée, l’esprit vif perdu dans les méandres
D’un horizon lointain, bousculé par la brume
Que même ce dieu soleil finira par attendre,
Et briller en sourdine, comme le ferait la lune.
D’un sourire évanoui, il nous faut être fier
D’un élan solennel, crions notre colère !
Eric 22 novembre 2007 / revu le 27 octobre 2008