La course du soleil, chaque jour, figure la course de nos cœurs : nous désirons, nous aimons, nous ne désirons plus, nous n’aimons plus. Le soleil est à son apogée, à midi, il décline ensuite, comme nous déclinons. Un jour, sur nous se referme l’interminable nuit, tandis que le soleil continuera d...
michelconrad' Blog
Le Temps est une quête
une soif sans rivage,
le Temps est une robe
que vous auriez portée,
– il n’est pas de remède
quand se teintent les heures
d’un souvenir perdu.
9/4/18
une soif sans rivage,
le Temps est une robe
que vous auriez portée,
– il n’est pas de remède
quand se teintent les heures
d’un souvenir perdu.
9/4/18
Mon âme s’est perdue
dans le ciel de tes yeux,
dans le ciel d’un été,
avide et merveilleux,
la rivière des nuits
m’apporte des paroles,
pour dire la magie,
la nuit d’ombre des choses,
comment se cristallise
ce qui dure un instant,
comment le cœur se brise,
ens...
dans le ciel de tes yeux,
dans le ciel d’un été,
avide et merveilleux,
la rivière des nuits
m’apporte des paroles,
pour dire la magie,
la nuit d’ombre des choses,
comment se cristallise
ce qui dure un instant,
comment le cœur se brise,
ens...
Le poème doit garder en lui, non pas la cendre, mais la braise de l'instant.
La paroi du silence,
les mots ne la traversent
et mes pauvres images
sont autant de messages
qu'on glisse sous la porte.
5/4/18
les mots ne la traversent
et mes pauvres images
sont autant de messages
qu'on glisse sous la porte.
5/4/18
Saisir l'instant
de l'aube,
dont le sillage de lumière
refleurira, en nous.
de l'aube,
dont le sillage de lumière
refleurira, en nous.
Chaque mot d’amour
sans écho
suscite une étoile
dans l’invisible.
6/4/18
sans écho
suscite une étoile
dans l’invisible.
6/4/18
Marguerite Duras évoque, à juste titre, « la primauté de la chose la moins énoncée sur la chose énoncée » : toute la difficulté de cette langue adamantine, la poésie, consiste à la dépouiller de tous ces falbalas dont s’encombre le langage, pour ne laisser passer, entre...
Le temps où je n’y serai plus,
il trotte, il vient, à pas menus,
je n’ai pas vu venir celui
dans lequel je vis aujourd’hui,
on croit toujours à l’immuable,
mais la vie court comme le sable,
et nos amours sont emportées,
tout comme on moissonne les blés,
ce joyau de l...
il trotte, il vient, à pas menus,
je n’ai pas vu venir celui
dans lequel je vis aujourd’hui,
on croit toujours à l’immuable,
mais la vie court comme le sable,
et nos amours sont emportées,
tout comme on moissonne les blés,
ce joyau de l...
C’est désespérément
que vous êtes en moi,
comme un déchirement,
sans vos yeux, votre voix,
que vous êtes en moi,
tel un soleil d’amour,
sans vos yeux, votre voix,
sans espoir de secours,
tel un soleil d’amour,
irrésistible aimant,
sans espoir de secour...
que vous êtes en moi,
comme un déchirement,
sans vos yeux, votre voix,
que vous êtes en moi,
tel un soleil d’amour,
sans vos yeux, votre voix,
sans espoir de secours,
tel un soleil d’amour,
irrésistible aimant,
sans espoir de secour...
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