Mon tour du village tient en peu de choses : quelques marronniers, quelques tilleuls, dont je prends des nouvelles, comme de vieux amis, la rivière, dont je consulte l’humeur, la couleur, l’amplitude, la vivacité, un « jardin zen » que des habitants ont imaginé, un vieux chêne qui est mon privilégié, et...
michelconrad' Blog
A contre-jour,
les arbres,
mandalas
sur le ciel hivernal.
27/1/18
"Arbre en janvier" (Janvier 2018). Tous droits réservés
http://nsa39.casimag...20159920224.jpg
les arbres,
mandalas
sur le ciel hivernal.
27/1/18
"Arbre en janvier" (Janvier 2018). Tous droits réservés
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Ce trésor oublié,
la sensation d'aimer,
en nous-mêmes
sommeille,
et, soudain, se réveille,
en une immensité.
la sensation d'aimer,
en nous-mêmes
sommeille,
et, soudain, se réveille,
en une immensité.
Tracer, de l’aube au soir,
sa vie, dans un grimoire,
en mots faits pour hâter
la venue du printemps,
consumé d’espérance,
écarteler son cœur
et survivre au silence.
26/1/18
sa vie, dans un grimoire,
en mots faits pour hâter
la venue du printemps,
consumé d’espérance,
écarteler son cœur
et survivre au silence.
26/1/18
Le destin d’une peinture tient à l’incidence de la lumière, dans l’atelier du peintre, le destin d’un poème à une conjonction de mots et de sonorités, le destin d’un amour au timbre d’une voix, à un regard perdu. Le hasard fait tourner les têtes.
26/1/18
26/1/18
Dans la forêt souveraine,
dialoguent les oiseaux,
le printemps est leur rengaine,
ils chantent très fort, très haut,
dialoguent les oiseaux,
bien que le vent soit glacé,
ils le chantent, dans leurs mots,
le retour du bel été,
bien que le vent soit glacé,
ils chantent à...
dialoguent les oiseaux,
le printemps est leur rengaine,
ils chantent très fort, très haut,
dialoguent les oiseaux,
bien que le vent soit glacé,
ils le chantent, dans leurs mots,
le retour du bel été,
bien que le vent soit glacé,
ils chantent à...
L’amour ne teinte pas son eau, n’altère pas son or. Son exigence est vive : les bords en sont tranchants. Sa lueur nous aveugle. Il faut le rejeter, ou l’accepter entier, vivre avec cette flamme, en nous, qui nous déchire.
25/1/18
25/1/18
Le sang de l’âme
est la seule encre
du poème.
25/1/18
"Soleil couchant" (24/1/18). Tous droits réservés
http://nsa39.casimag...64706224161.jpg
est la seule encre
du poème.
25/1/18
"Soleil couchant" (24/1/18). Tous droits réservés
http://nsa39.casimag...64706224161.jpg
Pour les jours de ténèbres,
au fond des yeux garder
le ciel
de la Beauté.
24/1/18
"Ciel" (24/1/18). Tous droits réservés.
http://nsa39.casimag...64115932356.jpg
au fond des yeux garder
le ciel
de la Beauté.
24/1/18
"Ciel" (24/1/18). Tous droits réservés.
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Il faudrait, toujours, une rivière, au bout d'un jardin : immobilité de la terre, mouvement de l'eau se conjuguent et se marient, là où finit le jardin.
"Soleil couchant" (23/1/18). Tous droits réservés
http://nsa39.casimag...01474289780.jpg
"Soleil couchant" (23/1/18). Tous droits réservés
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