Posté par michelconrad,
29 novembre 2017
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Si le poème n’emporte pas le cœur de celle pour qui il fut écrit, il traverse la nuit, d’un vol léger il va vers son destin, invisible et miséricordieux : faire rêver.
Votre commentaire, porté par de belles images et riche d'un vocabulaire que vous faites revivre bien à propos, tissé de mots qui viennent des plus profondes racines de notre langue, tels que "navrement", me touche beaucoup. Merci.
Votre commentaire, porté par de belles images et riche d'un vocabulaire que vous faites revivre bien à propos, tissé de mots qui viennent des plus profondes racines de notre langue, tels que "navrement", me touche beaucoup. Merci.
Michel Conrad