Si le poème n’emporte pas le cœur de celle pour qui il fut écrit, il traverse la nuit, d’un vol léger il va vers son destin, invisible et miséricordieux : faire rêver.
29/11/17
- silver et Loup-de-lune aiment ceci
29/11/17
Votre commentaire, porté par de belles images et riche d'un vocabulaire que vous faites revivre bien à propos, tissé de mots qui viennent des plus profondes racines de notre langue, tels que "navrement", me touche beaucoup. Merci.
Michel Conrad