Du Bellay, tes tourments me semblent ceux d'un frère,
aussi, je veux, ici, dire ma compassion
pour ce que tu vécus, si loin de ta maison,
ces années de tourments et de grande misère.
Le poème devint ton unique prière :
à ton exemple, je m'enivre des chansons
qu'improvise mon cœur, dans les quatre saisons,
éprouvant, comme toi, une douceur amère.
Ton âme est, désormais, dans une galaxie
lointaine, et, cependant, très fraternelle, aussi,
tes sonnets ont, toujours, la douceur d'un oiseau
qui volerait, sans fin, comme en un paradis,
loin des banalités, des multiples soucis,
qui étreignent nos cœurs, ainsi qu'en un étau.
aussi, je veux, ici, dire ma compassion
pour ce que tu vécus, si loin de ta maison,
ces années de tourments et de grande misère.
Le poème devint ton unique prière :
à ton exemple, je m'enivre des chansons
qu'improvise mon cœur, dans les quatre saisons,
éprouvant, comme toi, une douceur amère.
Ton âme est, désormais, dans une galaxie
lointaine, et, cependant, très fraternelle, aussi,
tes sonnets ont, toujours, la douceur d'un oiseau
qui volerait, sans fin, comme en un paradis,
loin des banalités, des multiples soucis,
qui étreignent nos cœurs, ainsi qu'en un étau.
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