Ravinée, creusée, l’écorce de l’acacia est, un peu, son visage, : les bourrasques des hivers, les embellies du printemps ont, patiemment, contribué à ce qu’elles sont devenues, – comme les jours et les nuits sculptent, de façon ininterrompue, nos visages.
L’apparition de ses feuilles est la plus tardive, dans le jardin : chaque fois, je me pose cette question angoissante : n’est -il pas mort, va-t-il se réveiller du long sommeil de l’hiver ?
Quand le printemps est déjà avancé, ses fleurs apparaissent et ajoutent leurs fragrances au paradis terrestre qui, tel un origami, s’est déployé, dans l’accompagnement sonore des oiseaux, dans le jardin.
L’apparition de ses feuilles est la plus tardive, dans le jardin : chaque fois, je me pose cette question angoissante : n’est -il pas mort, va-t-il se réveiller du long sommeil de l’hiver ?
Quand le printemps est déjà avancé, ses fleurs apparaissent et ajoutent leurs fragrances au paradis terrestre qui, tel un origami, s’est déployé, dans l’accompagnement sonore des oiseaux, dans le jardin.
16/2/18
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