Dans les arbres du jardin, les oiseaux crient, se chamaillent. Il y a du vent. Les feuilles jonchent le sol. Ici aussi, mon cœur me parle de toi, et, sur un carnet qui ne me quitte pas, j’écris des mots en me disant qu’ils sont, aussi, des graines qui dorment dans l’attente d’un éternel printemps.
18/10/18
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