Absorber le poème, comme on le fait d’un grand verre d’eau fraîche, au beau milieu de l’été. Renouveler le geste, tant que le soleil est haut dans le ciel. Au crépuscule, relire le poème et y chercher, comme des photons dans la nuit, les paillettes de lumière que, forcément, il recèle. Au petit matin, se chauffer les mains au feu de ses métaphores.
Quand on aura lu tous les poèmes qui nous entourent, en rechercher d’autres, sans fin.
Enfin, en écrire : bien loin de le craindre, il faut en espérer, en attendre un retour de flammes. N’être jamais, en rien, découragé par le silence. : vient un moment où le silence commence à parler.
De façon générale, comme c’est la règle en amour, dépasser la dose prescrite.
Quand on aura lu tous les poèmes qui nous entourent, en rechercher d’autres, sans fin.
Enfin, en écrire : bien loin de le craindre, il faut en espérer, en attendre un retour de flammes. N’être jamais, en rien, découragé par le silence. : vient un moment où le silence commence à parler.
De façon générale, comme c’est la règle en amour, dépasser la dose prescrite.
21/10/18
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