Commentant le premier vers de l’élégie XXIV de Ronsard (« Écoute, bûcheron, arrête un peu le bras... »), l’un de nos professeurs, à l’Université, nous dit : « il s’agit d’un optatif de l’impossible.. ».
Je me dis, aujourd’hui, que toute œuvre est, au bout du compte, un « optatif de l’impossible », car toute œuvre dit le monde, dit nos amours, tels que nous les voulons, tels que nous les rêvons, avant même que ce monde, que ces amours, ne sombrent dans l’abîme.
Je me dis, aujourd’hui, que toute œuvre est, au bout du compte, un « optatif de l’impossible », car toute œuvre dit le monde, dit nos amours, tels que nous les voulons, tels que nous les rêvons, avant même que ce monde, que ces amours, ne sombrent dans l’abîme.
8/12/18