Pour tout ce qu’il entreprenait, mon père était dans la démesure. Dès quatre heures du matin, l’été, il était dans son jardin, où la passion des fleurs, des plantes et des arbres le dévorait. La seule trace qu’il me reste de sa passion des fleurs est une photo de ses hortensias luxuriants, avant que, sans lui, son jardin perde tout ce flamboiement qu’il avait su y faire naître.
10/8/19