On ne mesure pas assez ce que nous inspire un visage, ce que nous croyons pouvoir y déchiffrer et l’émotion, le cri qu’il exprime, parfois, ni ce que le nôtre, à notre insu, révèle de nous. Il y a là tout un abîme de silence et, dans un échange de regards, toute une conversation silencieuse des âmes, auprès de laquelle nos pauvres mots semblent bien dérisoires.
30/10/19
"Cyclamens", photo retrouvée (30/10/17)