La grande solitude ressemble à un musée, que l’on visiterait, seul, la nuit, en portant une lanterne et où, tour à tour, surgirait telle ou telle image de tout ce que l’on a vécu, comme de nos amours passées qui seraient quelque part dans un univers parallèle, étrangement révolu et présent, à la fois.
7/5/20
"Quand le soir allume ses lanternes" (6/5/20) . Tous droits réservés.
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