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Tous les instants passés à te parler sans fin,
dans l’été, le printemps, dans l’hiver, dans l’automne,
ont tant marqué ma vie, comme fait un parfum,
que les jours sans ta voix sont un supplice hors normes,
tous ces instants passés à te parler sans fin,
t’aimer s’est si profond imprimé dans mon âme,
que je ne connais plus aucun autre chemin,
tu m’apparais soudain comme l’unique femme,
que je puisse adorer, dans les soirs , les matins,
t’aimer s’est si profond imprimé dans mon âme,
le temps s’est arrêté, en cet avant-printemps,
et pourtant mon cœur bat , et je respire encore,
mais l’absence est vraiment le plus puissant tourment,
qui s’empare de moi, torturant âme et corps,
le temps s’est arrêté en cet avant-printemps,
je rêve de ta voix, de ton rire sublime,
je songe à tous ces mots que tu m’as dits, parfois,
par ma façon d’aimer , je te porte à la cime,
tout comme le croyant exalté par la foi,
je rêve de ta voix , de ton rire sublime,
un jour, il se fera un silence pour nous,
le temps accomplira l’œuvre prédestinée,
je te donne ces mots de l’amour le plus fou,
toi que j’aurai sans fin passionnément aimée,
un jour il se fera un silence pour nous,
un oiseau chantera sur nos tombes perdues,
il se souviendra, lui, du poète oublié,
qui a tracé ces mots, nuit et jour, tant et plus,
dans l’amour le plus fou et le plus exalté,
un oiseau chantera sur nos tombes perdues.
dans l’été, le printemps, dans l’hiver, dans l’automne,
ont tant marqué ma vie, comme fait un parfum,
que les jours sans ta voix sont un supplice hors normes,
tous ces instants passés à te parler sans fin,
t’aimer s’est si profond imprimé dans mon âme,
que je ne connais plus aucun autre chemin,
tu m’apparais soudain comme l’unique femme,
que je puisse adorer, dans les soirs , les matins,
t’aimer s’est si profond imprimé dans mon âme,
le temps s’est arrêté, en cet avant-printemps,
et pourtant mon cœur bat , et je respire encore,
mais l’absence est vraiment le plus puissant tourment,
qui s’empare de moi, torturant âme et corps,
le temps s’est arrêté en cet avant-printemps,
je rêve de ta voix, de ton rire sublime,
je songe à tous ces mots que tu m’as dits, parfois,
par ma façon d’aimer , je te porte à la cime,
tout comme le croyant exalté par la foi,
je rêve de ta voix , de ton rire sublime,
un jour, il se fera un silence pour nous,
le temps accomplira l’œuvre prédestinée,
je te donne ces mots de l’amour le plus fou,
toi que j’aurai sans fin passionnément aimée,
un jour il se fera un silence pour nous,
un oiseau chantera sur nos tombes perdues,
il se souviendra, lui, du poète oublié,
qui a tracé ces mots, nuit et jour, tant et plus,
dans l’amour le plus fou et le plus exalté,
un oiseau chantera sur nos tombes perdues.
27/2/21
"Le noisetier" (1/3/21). Tous droits réservés.
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