Ce n’est rien de dire que vous peuplez mes pensées : vous êtes le soleil de chaque aurore, dans cette galaxie où votre voix, où votre rire m’ont fait entrer, où ma vie entière prend son sens, comme l’arbre s’enracine dans une terre, comme l’eau jaillit d’une source, qui est sa naissance et sa vie. Je ne sais plus rien des lendemains, sinon qu’il dépend de vous que ma joie demeure, et qu’elle prenne l’aspect d’un immense fleuve, ou d’un torrent de montagne, que ma vie scintille et que toutes les saveurs du monde prennent sens par votre présence.
6/9/20
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