Si vous saviez comme je vous aime, vous viendriez sonner à ma porte, vous vous jetteriez dans mes bras, sans attendre que le Temps sonne la fin de la partie.
Le Temps nous consume, nous détruit. Son œuvre est une œuvre de mort. L’Amour est une œuvre de vie, une œuvre de résurrection. L’Amour se construit dans l’écheveau des siècles. Les amants ne meurent pas, ils deviennent des étoiles, des constellations.
Je vous attends sans cesse, comme un homme incapable de renoncer à sa source de vie, à son jardin de cristal et flammes.
Je vous rêve. Je vous devine comme les poètes devinent ce dont ils rêvent, ce qu’ils inventent et réinventent sans cesse, dans leur solitude étoilée.
14/12/23
Le Temps nous consume, nous détruit. Son œuvre est une œuvre de mort. L’Amour est une œuvre de vie, une œuvre de résurrection. L’Amour se construit dans l’écheveau des siècles. Les amants ne meurent pas, ils deviennent des étoiles, des constellations.
Je vous attends sans cesse, comme un homme incapable de renoncer à sa source de vie, à son jardin de cristal et flammes.
Je vous rêve. Je vous devine comme les poètes devinent ce dont ils rêvent, ce qu’ils inventent et réinventent sans cesse, dans leur solitude étoilée.
14/12/23