Un silence à effleurer
Chaque être a son point de douleur, sa blessure immontrable, indicible. Par une sorte d'amnésie salvatrice, il arrive même qu'on l'oublie.
Les mots pour évoquer cela sont hors de portée du langage. L’écriture peut effleurer les prolégomènes de cette douleur.
Au delà, c’est un silence, un silence à effleurer.
26/1/24