Loin des bleuités de l’enfance,
Vers des étendues vastes et salées
Voguent mes pensées
Assoiffées d’insouciance.
Que le temps se glisse
Dans les interstices
Et chemine clandestinement
Le long de doux miroitements
Sur des sentiers moirés
Aux notes ambrées
Qui inondent la rive ardente
De leur magie vibrante.
21/08/2016
- M. de Saint-Michel et Loup-de-lune aiment ceci