Le roiAu bal des faux te voila canonisé roiDevant ton publiques tu te gargarises Tu fais la cours aux pucelles octogénairesDans tes beaux discours tu partages avec amourRegardez comme je vous aime aimer moiMais voilà tu n’as d’yeux que pour toiJamais repus il t’en faudra toujours davantageAlors tu souffles un vent de haineBrûlé par les braises que tu atti...

Je déBlog
Entre deux particulesIntention de confrontationLa vitesse de la lumièreConjugué au passéMe voila incongruUn résidu incompletCherche le coupletUn fil impassibleL’indifférence resteUn reliant ranceAux reflets diaphanesUn filtre impartialFaire le pointReste la focalehttp://www.youtube.com/watch?v=nhcOL2CGndM
Un pied par-ci, un pied par-làTout mon être reste en émoisDans les abîmes, des trous se creusesPlénitudes poreuses Turpitudes érectiles Déflagrations annales Un parfum d’égoutsAux ardentes traversesDes déviations trompeusesLes uns devant les autres Le droit pour moi Le reste de mes hautes Dans ton cul siffleraUn train trainTrois fois
Les regards fixé sur deux silexLe geste brusqué d’attentionsLes brindilles patiemment attendaient L’étincelle que nous embrassionsNos esprits rassuré de ne plus voir dans l'obscuritéA la guerre nos corps peuvent s’en aller Le cœur réchauffé de ne voir plus que ses pieds
Un silence de permissionUne excitation volatileUn olfactif abandonUne brindille agonisanteDécomposition de résidusExpressions de fractionsUne excuse oratoire
Un et un qui font troisUne piqûre au cœurVoila un infini devant-toiUn métal froidInfime partie du temps Sang pour sangAccrochée à ton bras
Laissez-moi rire le temps du silence, qu’il se tue. Des larmes de sang coulées de plomb se perdent.Dans des temps immoraux ils ne s'oublient plus.
Je trie sous videDans un monde avideJe ne souligne rienQue des miettesAux aboisQuelques restesUn festinPour des roisPlus de couronneMal de foieC’est la donneReste des abatsPour quelques chiensEn manque de rien
Face à l’âme en manqueSes haines en cage il gageDe chaînes brisées le crâne uséSur le chien couché les cibles amèresArmé le doigt rongé de rimes uséesSouillées d'armes avidesLa rage facileIl nage dans les abîmesfarce à larmes.
Que le courant ne me déporte, ni de bord et point à mon débord, pas de déboires.Je ne perds pas de vue cette belle écluse.Des cales sèches, je m’enivre, du vide de ces plaines.Sèche de plénum à court de vent, en attente d’une bise.Les attaches à la ramasse, toutes voiles basses.Le fœhn de mes ancres sent la sardine.