Entre deux vents passeTranquille ils se prélassent Un tempo passe Lâchez priseIls s’enlisentDans des temps à contre courentLes tempêtes ragentNage, dans des mères  incertainesLa bouée qui  enliseA en perdre piedJe me dégage sans souffle coupé
								
								
								
							
						
	 Je déBlog
	
			
		
								
										Plus que des poings levés de fiels déjà couchés, des  mains frêles se dénouent sur un horizon vaincu par la blême idée qu’il en découle.
								
								
								
							
						
								
										Sous cellophane, faute de souffle j’inspire des silences sous vide vendus en grande surface à prix cassé.
								
								
								
							
						
								
										Je le tisse d’un fil, même si ils le veulent lisse qu’ils m’enfilent je sais me défiler.Une aiguille, je m’en pique; que le fil passe, tissent de vieux futals aux cadres plaqués je m’en pique. Faute de feutres aux  patrons troués, je m’aiguise.Que la goûte qui en coule soit sanctifiée.
								
								
								
							
						
								
										Le jour ou tout ce si ne sera plus…Il n’en restera plus qu’un seul et unique,  vous tous ; seul à me regarder, à quoi bon si tout est joué d’avance, nul aux échecs je me fais mat du premier coup. Que votre vie soit bonne. La notre si je peut me permettre une généralité est a chier. Trop de morts, de haine, d’envies, jalousies et chéri la suite. Tu me manq...
								
								
								
							
						
								
										Bon vent capitaine, sur se vieux rafiot je fut fier de servir en matelotMes innocences vaines n’y peuvent plus rien, dans l’ombreQue les vents te soient prévenants, dans les orages comme dans les ouragansLes vagues scélérates ne t’épargneront pas, sans vains compagnons.quoique un rein deux tu l'auras
								
								
								
							
						
								
										.Avec c’est toutSans effroisAvec nos  leursSans les leurres Avec distillé par millionsSans les peut-êtreAvec des pas surCensureReste Des peut-êtreAvec une chance. 
								
								
								
							
						
								
										Écris-moiSi pour toi un tuJe le vauxUn moi sans toiN’en veux pas plusUn tien tu l’auras
								
								
								
							
						
								
										Un petit train suit le cheminOn y va, en arrière en avent, comme des aimantsBien des voyageurs le prennent hagardsComme des amants, en avent, en arrièreD’autres sure le quais restent lasse à imaginer de lointains horizonsEn avent en arrière, c’est déjà derrière; on s’en fout c’est maintenantD’autres bavards si aventure sans hasardComme des aimants, en ave...
								
								
								
							
						
		


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