D'une partition coulent, ô tesson de papier,
les aplombs incertains de ce kakémono.
Noir et blanc le quinconce déroule un clavier,
Et cordes au jardin, il pleut sur mon piano.
A deux doigts d'étouffer, quand même l'atonie
Me frappe dans l'ajour d'un long sostenuto,
L'ennui va ruisseler, et mes pleurs in-petto.
Le café tachera La table d'harmonie.
Sonatine sans fin, une cendre de lune
Martèle des miroirs au reflet travesti,
Et dans l'éclaboussure, elle hâte un solo.
Je me joue du halo, au clair que je pétune,
Comme un scaferlati.
les aplombs incertains de ce kakémono.
Noir et blanc le quinconce déroule un clavier,
Et cordes au jardin, il pleut sur mon piano.
A deux doigts d'étouffer, quand même l'atonie
Me frappe dans l'ajour d'un long sostenuto,
L'ennui va ruisseler, et mes pleurs in-petto.
Le café tachera La table d'harmonie.
Sonatine sans fin, une cendre de lune
Martèle des miroirs au reflet travesti,
Et dans l'éclaboussure, elle hâte un solo.
Je me joue du halo, au clair que je pétune,
Comme un scaferlati.