D'absolues planitudes et d'amonts vaporeux,
Je déplie les nuages, éminences diffuses
A la barbe d'un linge. Les aimables têtons.
Un automne vêtu des estives livides,
Avale mes penchants qui ébrasent vos hanches,
Et je songe au revers de la combe dormante,
Comme à l'aine aréneuse, une îlette où chimères
Et fausses apparences me feront bander.
Encore.
Je déplie les nuages, éminences diffuses
A la barbe d'un linge. Les aimables têtons.
Un automne vêtu des estives livides,
Avale mes penchants qui ébrasent vos hanches,
Et je songe au revers de la combe dormante,
Comme à l'aine aréneuse, une îlette où chimères
Et fausses apparences me feront bander.
Encore.