Qu'un bord de rive te répugne,
Lui, seul, te laisse à voir,
Au pendant des mémoires,
Que tu ne manques pas.
D'un chemin de hâlage,
Autant qu'il t'en souvienne,
Ils auront ahané l'unanime bonheur
De s'attacher toujours,
Et diront l'abandon, de toi, sublime imbécile,
En tirant leurs carènes sur de vagues regrets.
C'est l'écume fendue aux croisères grandioses,
Car de ce bord de rive, où voyage le temps,
Parfois ils renfloueront la légende incertaine
De ce vieux plaisancier, beau comme une gageure,
Qui a lié le vent au gré de leur fortune.
En toi,
Ils se reconnaîtront ,
Radieux de contenir ton regard affranchi.
Il rend aux échouements ce que jauge l'estime.
Des ballots de tendresse.
Lui, seul, te laisse à voir,
Au pendant des mémoires,
Que tu ne manques pas.
D'un chemin de hâlage,
Autant qu'il t'en souvienne,
Ils auront ahané l'unanime bonheur
De s'attacher toujours,
Et diront l'abandon, de toi, sublime imbécile,
En tirant leurs carènes sur de vagues regrets.
C'est l'écume fendue aux croisères grandioses,
Car de ce bord de rive, où voyage le temps,
Parfois ils renfloueront la légende incertaine
De ce vieux plaisancier, beau comme une gageure,
Qui a lié le vent au gré de leur fortune.
En toi,
Ils se reconnaîtront ,
Radieux de contenir ton regard affranchi.
Il rend aux échouements ce que jauge l'estime.
Des ballots de tendresse.