J'aimai par ce regard, votre immense sourire,
A l'instant ramassé d'un cahot silencieux.
Si sombre et absolu, je n'avais que mes yeux,
Pour vous, Chère sagace d'avoir su me lire.
Bon teint terreux et cuit qu'orne la passe-rose,
A l'endroit vers le coeur où l'âme pénêtra,
Elégante et gracieuse ainsi qu'un tanagra,
C'est vous, mettant au jour, en moi la vieille chose,
D'encore aimer la vie et le temps pour y croire.
A l'instant ramassé d'un cahot silencieux.
Si sombre et absolu, je n'avais que mes yeux,
Pour vous, Chère sagace d'avoir su me lire.
Bon teint terreux et cuit qu'orne la passe-rose,
A l'endroit vers le coeur où l'âme pénêtra,
Elégante et gracieuse ainsi qu'un tanagra,
C'est vous, mettant au jour, en moi la vieille chose,
D'encore aimer la vie et le temps pour y croire.