Polychromie de la déprise
aurore
un ciel en orangé
infiltre le train
ses coulures
à travers la balbutiante assertion des matières
hasardent les lettres de la destination
épanché le rose s'y mêle incontinent
jusqu'à la jubilation de l'illisible
et radieuse la vitesse
entraîne le trajet
dans un ajournement couleur bleu d'assomption
aurore
un ciel en orangé
infiltre le train
ses coulures
à travers la balbutiante assertion des matières
hasardent les lettres de la destination
épanché le rose s'y mêle incontinent
jusqu'à la jubilation de l'illisible
et radieuse la vitesse
entraîne le trajet
dans un ajournement couleur bleu d'assomption
- hasia, Esterina, M. de Saint-Michel et 1 autre aiment ceci
Comme si les couleurs ici, détenaient cette philosophie existentialiste en toute liberté et finitude...
"La déprise"en sa jubilation de l'illisible,
sublime, ses transmutations en valeurs affinées et nobles.
Tels des effets de matière, séduisants, empruntés aux maître classiques,
à Vous,
hasia