Poète
J'y marchais soudain sans savoir
si j'avais bifurqué
J'y marchais sans peser
la séduction des délinquances
Il s'était fait cet interstice
pour distancer sans axiome
la soif du liquide érosif
qui change la coupe en soif
Parallèle à mon souffle
une musique infime
des voyelles des consonnes
mes empreintes sur la voie
que neige la retrouvaille
J'y marchais soudain sans savoir
si j'avais bifurqué
J'y marchais sans peser
la séduction des délinquances
Il s'était fait cet interstice
pour distancer sans axiome
la soif du liquide érosif
qui change la coupe en soif
Parallèle à mon souffle
une musique infime
des voyelles des consonnes
mes empreintes sur la voie
que neige la retrouvaille
- Esterina, M. de Saint-Michel, bɔētiane et 2 autres aiment ceci
neige claire-obscure sur la froide nuit....une femme à l'imper, à l'impermanence, s'avance dans le soir...
Ô combien il est hors de prix, le danger de se procurer de l'encre....
( carnet froissé d'une femme qui risque ses ailes pour tremper une plume dans le noir d'une nuit d'encre...)
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le cercle des neiges bleuïes