L'appel
fleurs d'ambre et fleurs de vermeil
s'entrelacent
sur la vapeur bleue des voilages
dans une telle distance du bouquet
s'enfièvre l'imagier des corolles
s'exalte le calligraphe des étamines
parmi la cité bourdonneuse
un hiatus en manière d'oiseau
a dardé son ramage
éveilleur des parfums d'altitude
il traverse
en vain appel
la si mince aile de rose
tout le demeurant du savon
a mué l'essor
en ce coquillage de verre
que paillette un mica d'arc-en-ciel
fleurs d'ambre et fleurs de vermeil
s'entrelacent
sur la vapeur bleue des voilages
dans une telle distance du bouquet
s'enfièvre l'imagier des corolles
s'exalte le calligraphe des étamines
parmi la cité bourdonneuse
un hiatus en manière d'oiseau
a dardé son ramage
éveilleur des parfums d'altitude
il traverse
en vain appel
la si mince aile de rose
tout le demeurant du savon
a mué l'essor
en ce coquillage de verre
que paillette un mica d'arc-en-ciel
- hasia, Esterina, M. de Saint-Michel et 3 autres aiment ceci
l'aspect cristallin de ces vers fait qu'on se chuchote à soi-même un ressenti aérien, élémental et plein de senteurs inimaginées....
cette cité bourdonneuse me semble si poétique....
les fleurs vous parlent-elles en toute intimité de leurs rêves...?
***
"la fille qui murmurait à l'orée des fleurs"
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si j'aime ce poème ???
un peu - beaucoup - à la folie......