Aller au contenu





Caravane idolagète

Posté par Loup-de-lune, 20 avril 2019 · 1 119 visite(s)

'Poète - Ton espèce de matérialisme verbal. Tu peux considérer de haut romanciers, philosophes, et tous ceux qui sont assujettis à la parole par la crédulité ; qui doivent croire que leur discours est réel par son contenu et signifie quelque réalité. Mais toi, tu sais que le réel d'un discours, ce sont les mots seulement et les formes.'

Paul Valéry




Caravane idolagète




... pour Clément Velluet,
kaléidoscopique allianceur de résonances inouïes...




Les arcures que beige le dévêtissement

avec leurs mues ombreuses mécitées par l'outrance

amarrent à la cloison le triplement du losange

quand sur le cyanothéâtre qu'épiphanent les rideaux

les envers d'une foudre bourrasquent

pour partir de millifusain la litanie des pictogrammes

 

 

L'orangée munificence et la rhodofoliace de son scrupule

avaient décidé de la charade où s'exondât le verre

aux déchirures se lient d'un bondir de dauphins

les héliomimes de la méiose encieleresse

une ptéroseptique nielle à même la chanson dentellière

moie l'épousement de la vague par la stalagmite

 

 

Dérênés dans le diaphane galactochrome

vont coulant les palindromes des coquillages

ataraxiques dérobades du décharme d'ouvrir

sous une rafale tigroïde la nostolyse costume l'abysse

or déjà consument le rugir d'obliques fuligines et retrébuche

sur les coffres qu'épave un flibustier en aube le sémantème

 

 

Les badines de braise assignent le quatre-marbres à l'océance de leurs mirances

nonobstant la fleur a véliné la tasse du délilas de son départ

et volute aux fronts mélanméditatifs des élancés le dédain du fanage

le bambou mime sa flûte écarquillée pour enclore un miroir

passant leur sablon muséal les nouements des mariniers artistes

ombrent d'un rêve de lasso la bienvenue qu'effondre une bouée



Extraordinaire  ! Chère Loup-de-lune.

Je suis très admiratif de cet ultime poème…

J’adore ! Vraiment. BRAVO.

Mille Merci de votre poésie qui me fascine, me rend ravi… .

ENCORE UNE FOIS, je pense que votre poétique est profondément nouvelle dans l’esthétique, la stylistique, les formes et le fond..

Merci de votre partage. Vous illuminez mes connaissances et nourrissez en moi une nourriture spirituelle, littéraire, artistique, que je bois avec joie et délice... Vous réfléchissez et créez des puissances littérales, des théâtralités, en des cristaux de chairs mots, les sourires incarnés, originels, les zéphyrs poétiques, en des flammes neurologies, en des tordre, des mots éclatements, égrenés, comme des besoins acoustiques, des voluptés en couleurs, des mots à métaphores, les âges de vos doigts d’écriture fantastiques, morphogénétiques, à flots irréguliers des abeilles ongles… . Comme des représentations, à immanence, des cellules, en mots ADN, des parfums délires, des corps grammaticaux, ou dansent, s’exhalent, des soleils transpercés, des photosynthèses amoureuses, des transmutations, en pachydermes, voilés, infinis, chiffres des complexions … . Vous êtes des étincelles larmes, des bateaux onirismes, en des transhumances, les océans d’encres animistes, noires, flagellés, de cicatrices, les intellections, de vos miroirs baignant, de Beautés linguistiques, des pépiements logiciens, des fantasques chevelures, de vos illuminations, des chérubins inorganiques, enfantements, des ferments, ou le coeur de votre poétique, est métastase, ou je cueille dans vos lectures, des trésors comme : « les palindromes des coquillages » / «  les héliomimes de la méiose encieleresse, » / «  la litanie des pictogrammes » / «  cyanothéâtre qu’épiphanent les rideaux » . Vous êtes, Chère Loup-de-lune », MAGIQUE !!! Des transports m’élève, dans vos complexions idéales, des offrandes du Vivant, des cellules à osmotiques grappes, des astres logarithmiques, des effluves, ou les néologismes, de vos codes inertiels, propédeutiques, sont des montagnes philosophales, les mains de votre plume aux infinis degrés, de vos inventions poétiques, qui ensorcellent mes assises mentales, mes identités de représentatives, mes convictions ébranlées, assises, comme des diamants incarnés, des rêves impossibles, ô reflets, de mes solides larmes, à bouleversements, de mes écumes télépathes, de vos identités de Sels, des projections acoustiques, de vos larmes, en souffles silencieux… .

O cieux des hirondelles, ou votre Art trouve une résonance, pleure, en un écho, une réflexion en moi, je dirais Providentiel… . Vous êtes extraordinaire. Loup-de-lune. Votre écriture est Sentiments… .

 

« Ces sémantiques d’oiseaux des Rires athées, diagonalisés, des géomètres, à cous orthophoniques, des allumettes belligérances, ô miroirs des ordres « Caiîques, » les molaires introversions, des balances eidétiques, ô transparences, des jachères à peaux, des langues circonflexes, ô chiminisations, des lèpres Identiques, ô contemplations, des môlaires à genoux, les « épicéphales-druidiques- des ossements « sinonce », cathédrales, des lèvres bancaires, les insectes, des polyglottes ruptures, les acouphènes doigts, des onirismes futuristes, les mains verticales, les dialectiques eugénismes, filaments des torches « dudusciodes», plantées de lyres des accidents, des poumons associatifs, les vides numérologies, « hydricéphalées, » des vectorielles vacheries, des ordinateurs langues, des vectoriels abstractions, ô « dilimôtres » veines des stéréotypies, les spectres genoux, boisés, aux synergies des algues mimétismes, les voluptés incontinences, « tropédeutiquues, » des tracteurs agricultures, à maïeutiques « lybomotives, » les locomotions, des pâmoisons littérales, des ordinations cycliques, ô acryliques, alcools, des symétriques continences, ô dédoublements des synapses billets des ampoules théologiques, ô poupées des scarifications, des noires stigmates, aux poteaux des Bacchus, poudre anthropologies, des zéros acoustiques des vibrisses « hectases, » les vomissures probabilistes, les noumènes « mïiques » , des organigrammes, accouchements, les équilatérales compensatoires, des feux immanences, des noyaux catégoriels, des projections d’abeilles politiques, les degrés des physiques, bulles antropiques, végétations, les poulies organiques, fistules des tabacologies réductionnistes, chats migratoires, volitions des horloges à cohomologies imputrescibles des laves gynécologies des mensonges pensées numérologiques, ô Justice, des chrysalides en moutonnements, diffractions des chues fourmillements les étoiles scalaires, chattes, aux cadavres respiratoires, bleuis, ô alcôves intuitifs, des calligraphies en champignons sans pensées prénatales des invisibilités architectoniques, ô lavements des monstres à gravitations téléologiques des stochastiques lividités des rotules d’angles, ô éveils « des oclances  lés» anatomiques, pharmacologies, des déconfitures l’esclavages, les oublis génocidaires, des bohémiens conductibilité « les cubatoses » génies, des digressions gestaltistes, ô ruissellements, des statues cerveaux en des téléphones de lunules, les déhiscences, des sociologies d’ordinateurs, pictogrammes, par de-là les sycomores, des Jésus temporels, les hydres, plasticités des vins, des chrysanthèmes pointillistes, les cailloux, des alimentaires anthropologies, les parfums, en chevelures statiques, « contractitions » , « biologitées » des cigarettes orgueils, fusils décomplexions, ô « caïoosité, » des cubes démonstratifs, sophrologiques, statistiques des flocons telluriques, « des midre » anus, ô savons, des affres, des chevaux, à polarités des gestations informatiques, psychiatries des libellules médicaments, des ô limbes dé-jetés de prostitutions manichéennes, ô fleurs giflées de visages les nues « infractives, » blondes, des écoutilles liquidités atomistiques, les urines préservatifs, ô rires, des nénuphars murmurants, exégèses des profondeurs, des cristaux voyelles, ô tapisseries des besoins, des commotions infantes, mécanistes, tensorielles, par semences des bières géologiques, des fols intermittences, des bières églises, les échines à mensonges miroirs, ô fortunes, des pneumatismes raisins, des poings échevelées, des concentriques navires, à distances des osmoses cognitions des propriétés à créationnismes des flagelles images, des sadismes préséances, hyperboliques, ô impermanences, des citrons déterministes, ô porcelaines, des impôts phénoménologies, des inductions squelettiques, des viandes élastiques, extensives des cataractes lavandes, les profondes ailes, en naturalisations, les essaims topologiques, les discrétions « préservationnistes, » des « maïocènes » des nucléaires phantasmes, ô modélisations, des pétales nourritures, vierges miettes, des polyandries masculines, les aumônes orthographies, les zoologies statiques, immobilistes, les géographies intégrales, des molécules taxées, d’incomplétudes animaux, ô idées des locomotives, anthropoïdes aliénations, des moustaches entropiques, ô papillons trouées, des naissances à puits, les contritions, des fruits psychés.. des échographies inertielles, ô folies des hypostases, ô délires, des bacchantes énergies, des volumes tectoniques, des hasards démographies, psalmodies des bouteilles sans nez, ô cuisines des électricités, à boulangeries, des gentillesses.. ô pubescences, des astres morcelés, des suicides, en fusées cataleptiques, des progressivités mathématiques, les réflexivités être, scientismes ménopauses, des pierreries efflanquées de précisions, des arbres, à codéines, hygiènes des fantômes, polysémiques, les synthétiques crânes, pubescences des araignées aveugles, des grâces Lumières, ô incubations, des violoncelles, des chosifications transactionnelles, des médicaments, en syncopes itératives, en ventres stalagmites, ô canoniques, des robotiques arc-en-ciels, des sida baleines.

Les obsessions, des photographies alimentaires, ô besoins, des sirènes écologiques, ô architectures, des peintures nosologiques, ô tristesses…. . »

...je suis... je suis tout gratitude... tout émoi... je suis tout admiration devant cette prodigieuse lettre-poème que vous venez m'offrir là!... Devant cet infini d'images-voyages qui tréfile comme ligne de Vie la voie de la caravane idolagète...

... vous vous faites là son inespéré passager et son apothéotique lecteur...

... bien que je sois persuadée que l'expression "la boucle est bouclée" ne conviendra jamais à l'aventure poétique, je ne puis conclure ici qu'au moyen de la confirmation de la dédicace qui ouvre le poème :

... pour Clément Velluet,
ce kaléidoscopique allianceur de résonances inouïes!


Loup-de-lune

Ma photo