Pour WANGSHAN Bizheng,
née au coeur d'un matin radieux du printemps 2021...
Que la Vie te soit belle et flamboyante,
adorable Demoiselle des Îles verdoyantes...
' Perché questa lunga notte, non sia nera più del nero
Fatti grande dolce luna e riempi il cielo intero
E perché quel suo sorriso possa ritornare ancora
Splendi sole domattina come non hai fatto ancora '
Riccardo Cocciante
Améthyste
Où triste gésir cette intime pièce composée par le souffle
l'angle atramenteux des chansons d'étambord éclabousse la dénudation
cependant que les drisses recommencent par l'enluminure des voilages
l'émaciement aux fins d'offrir en cible les coronaires dresse la femme
passeur de vermois le faisceau arrive aux fermoirs du talisman de silice
Elle se sera coulée dans la transparence qui baigne les amnisties avec les courroux
une chute éploya sa bleuissure telle une chance d'alcyon
mais puisque la mer houle et déferle ses boissons mélancolieuses
c'est en aile que répute saoule la laisse longue qu'elle danse
au carat nouveau de sable en calcaire la fiducie appareille la paume
Le ruiniste des phares a donc pénétré l'exuvie de la foudre et sa culminance de sylphide
controuve le vacillé des degrés n'ayant pas désappris de gravir
limbique le sommet qu'infirme la constellation dilacérée
mais conculquer ainsi musicienne brute le bris de l'ancien guide
mène à cet elliptique écrin ouvré en coeur des chaos
Pour abyssal matin la lueur qui persiste jusqu'aux épouvantés
recompose des yeux dans un crâne obliqué
en faveur de son gabier les linéaments de la mâture envisagent un sel
comme au bond déjà il échoit le regard entrelace ses nages et va
les violaçant au long de l'engravement qui tressaille d'un sentiment de haleurs
née au coeur d'un matin radieux du printemps 2021...
Que la Vie te soit belle et flamboyante,
adorable Demoiselle des Îles verdoyantes...
' Perché questa lunga notte, non sia nera più del nero
Fatti grande dolce luna e riempi il cielo intero
E perché quel suo sorriso possa ritornare ancora
Splendi sole domattina come non hai fatto ancora '
Riccardo Cocciante
Améthyste
Où triste gésir cette intime pièce composée par le souffle
l'angle atramenteux des chansons d'étambord éclabousse la dénudation
cependant que les drisses recommencent par l'enluminure des voilages
l'émaciement aux fins d'offrir en cible les coronaires dresse la femme
passeur de vermois le faisceau arrive aux fermoirs du talisman de silice
Elle se sera coulée dans la transparence qui baigne les amnisties avec les courroux
une chute éploya sa bleuissure telle une chance d'alcyon
mais puisque la mer houle et déferle ses boissons mélancolieuses
c'est en aile que répute saoule la laisse longue qu'elle danse
au carat nouveau de sable en calcaire la fiducie appareille la paume
Le ruiniste des phares a donc pénétré l'exuvie de la foudre et sa culminance de sylphide
controuve le vacillé des degrés n'ayant pas désappris de gravir
limbique le sommet qu'infirme la constellation dilacérée
mais conculquer ainsi musicienne brute le bris de l'ancien guide
mène à cet elliptique écrin ouvré en coeur des chaos
Pour abyssal matin la lueur qui persiste jusqu'aux épouvantés
recompose des yeux dans un crâne obliqué
en faveur de son gabier les linéaments de la mâture envisagent un sel
comme au bond déjà il échoit le regard entrelace ses nages et va
les violaçant au long de l'engravement qui tressaille d'un sentiment de haleurs
- M. de Saint-Michel, clemouchka et En hoir de Loup-de-lune aiment ceci
À toi mon périlleux Béryl
Ma chatoyante fadette
À tes fines arêtes
Ôtée à ma gangue vernix
Cet octobre t'a clivée
Du gisement premier
D'amour et de Temps belle taille
Tu charmes les apories
Magmatique souris
Moi mère tu m'as faite orfèvre
De tes astéries le phare
Bruissant aux prismes Lares
Poème de Wakoda