Toujours au bout des ambres
les cieux sont éclairés
et le banc égaré
étanche ses racines
dans le terreau bruyant du coeur
qui laisse sous son pouls
la voix nourrie et le chant des époux
garder du premier noir
l'exaltation malhabile du toucher,
tarder du premier soir
la douleur dans la bouche quand l'heure à peine couchée
dresse son sang sur les fenêtres
qui naissent pour se cacher.
- Esterina aime ceci