Tu empreins d'une ride ce haut front blasé, Comme une mue diaphane où nulle ombre te visse, A l'éclat de l'instant, ton diadème embrasé, Pas même une indolence, une couleuvre lisse. Tu sangles de froideur ce tertre déclamé En coudoiements bruissant un aveu de prière. Anneaux gris et sang bistre eff...

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Petit bout de nos chairs, sous le poids des lignées, Tu t'accointes, Andrea, des blondeurs vénitiennes, Et nos ombres tenues de survivre aux aînées, Chériront tes yeux pers. Ces mémoires anciennes. Toi, l'ambre qui s'exhale à nos petits destins, En nous, tu te répands et chasse le bisbille....
Noirs et blancs papillons, chaque soir, éperdusQui embrasent d'un zèle aux ombrages nacrés,Débonnaires friands des hommages rendus,Les falots renchéris, rougoyants et sacrés,Me zézayent ainsi que le vent s'assibile,Et persifflent un son de bruissantes voilures,Alors que, sous le fard, le silence jubileAu velours où l'ocelle a troué leurs allures.Noirs et...
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