
Sujet sans fin
#901
Posté 01 mai 2009 - 07:11
#902
Posté 01 mai 2009 - 09:17
quelques differences/pour l'un, tout proche/pour l'autre trop loin/ou son contraire
ou son contraire / ombre décalquée
#903
Posté 01 mai 2009 - 10:02
ou son contraire / ombre décalquée
[/quot
ombre défalquée;
soleil perdu.
#904
Posté 02 mai 2009 - 07:52
Salut à toi ô Grand Khenat, égal à lui-même !
#905
Posté 02 mai 2009 - 09:48
soleil perdu/avec deux ailes/mais ou et donc or n'icare
Salut à toi ô Grand Khenat, égal à lui-même !
Mais où est donc or n'Icare / brûlure de l'ego / fondue / aligot!
#906
Posté 02 mai 2009 - 10:02
Mais où est donc or n'Icare / brûlure de l'ego / fondue / aligot!
Aligot / Vin et Gigot à l'ail / Flageolets / Pets foireux / Vents mauvais
#907
Posté 02 mai 2009 - 10:07
Aligot / Vin et Gigot à l'ail / Flageolets / Pets foireux / Vents mauvais
Foireux, ouaip!

Vents mauvais / cyclothymie / pain perdu
C'est pire!

#908
Posté 02 mai 2009 - 11:28
Y a du pain sur la planche...

#909
Posté 02 mai 2009 - 11:36
pain perdu/vieux crouton/raci/vieille peau/râle/Haaaaa...
Y a du pain sur la planche...
je sais, je sais, je suis affreux !
Haaaaa... / Ca fait du bien / Les oreilles après/ Puis gratte moi le dos
#910
Posté 02 mai 2009 - 06:59
#911
Posté 02 mai 2009 - 07:22
Puis gratte moi le dos/laine/pull over/ovule/oeuf/poule/philosophie
Philosophie / Amour de la sagesse / Sainte Sophie / Constantinople / Istanbul /Jardin et bassins / Taj Mahal
#912
Posté 02 mai 2009 - 07:33
#913
Posté 02 mai 2009 - 07:40
Taj Mahal/Palais de la Couronne/dentier/ratelier/Ã pipes/St Claude, priez pour nous !
Rho là t'es dure!
Saint Claude priez pour nous / Madame Claude / Ambivalences/ Androgynes
#914
Posté 02 mai 2009 - 07:50
ça prend forme...
#915
Posté 03 mai 2009 - 08:34
Androgynes/presqu'iles/bras de mer/langue de terre/pas tout à fait elles
ça prend forme...
Pas tout à fait elle/Ni tout à fait une autre / Et m'aime et me comprend. /Car elle me comprend/ et mon coeur transparent
NB j'ai carrément pompé Verlaine "mon rêve familier"
#916
Posté 03 mai 2009 - 09:42
merci pour l'ami Verlaine
#917
Posté 03 mai 2009 - 09:47
Rho là t'es dure!
Saint Claude priez pour nous / Madame Claude / Ambivalences/ Androgynes
Androgynes / gynécée / cétacée
#918
Posté 03 mai 2009 - 11:25
#919
Posté 03 mai 2009 - 11:37
Bouquet d'amour/cétacée/ou trop/c'est le geste qui compte...
C'est le geste qui compte/Je vous ai apporté des bonbons/Bien que les fleurs soient plus présentables
Là ! Je tape du coté de Jacques Brel
#920
Posté 04 mai 2009 - 10:42
C'est le geste qui compte/Je vous ai apporté des bonbons/Bien que les fleurs soient plus présentables
Là ! Je tape du coté de Jacques Brel
Je n'ose pas mettre mes mots dans les mots du grand Jacques...
Présentable / Pré aux clercs / clair midi
#921
Posté 04 mai 2009 - 07:45
Je ne saisis pas la transition mais cela me semblait si évident, même en ne l'ayant jamais vu de dos...
#922
Posté 04 mai 2009 - 07:52
clair midi/clair obscur/clair de lune/Claire Chazal
Je ne saisis pas la transition mais cela me semblait si évident, même en ne l'ayant jamais vu de dos...
Claire Chazal / Pablo Casal / Casus Belli /E pericoloso spor ghezzi
#923
Posté 04 mai 2009 - 09:45
J’avais fait sa connaissance par l’intermédiaire d’Adrianna Braggi.
Conquis par son voyage, j’avais voulu connaître les autres nouvelles de cet écrivain, dont le projet était d’en écrire une pour chaque jour de l’année.
De tous les personnages que je rencontrai, je m’aperçus qu’Adrianna bénéficiait d’un statut spécial, comme si elle avait su tempérer la rigueur du maître des lieux. Pourtant lui avait-il donné pour nom, dit-on, un réarrangement du vocable « prisonnière » (prigionnera), mais pour aussitôt lui laisser une issue, une échappée dans l’histoire. Illusion dont il ne tarderait pas à perdre la maîtrise.
Ses habitudes avec les personnages qu’il mettait en scène étaient pourtant bien installées. Je crois qu’il avait déjà vécu cela lui-même … Ces hommes, ces femmes, du Sud de l’Italie, il les avait enfermés dans leurs vies comme dans des habits trop serrés, trop courts, trop noirs. Et dans les attitudes étriquées avec lesquelles ils cherchaient à paraître élégants (car ils étaient élégants, c’était évident, mais où ?) ils retrouvaient les rôles, les répliques, les pantalonnades tristes de la commedia dell’Arte.
Je ne me méprenais pas, les traits étaient juste un peu plus appuyés. Le comique sauvait la face du drame, bien cachée derrière le masque qu’il finissait irrémédiablement par tirer.
Adrianna n’y échapperait pas, mais au moins aurait-elle un droit de regard « un attimo », un instant. Je la vis commencer à sourire, est-ce un hasard, dans la scène de l’essayage, comme si elle troquait là les fils tout tracés de son histoire de ses cartons à chapeaux.
Elle devint « autre » uniquement par la grâce de ce qu’elle vît, de ce qui lui était interdit de voir, de par sa condition de femme, ou même plus généralement par sa condition d’être destiné à se tenir dans le rôle qui lui a été assigné.
« C’est pourquoi elle s’obligeait à réfréner la fébrile anxiété joyeuse de ce regard et à ne pas tourner sans arrêt la tête d’une portière à l’autre comme elle en avait la tentation pour ne rien perdre de toutes les choses sur lesquelles, ainsi en pleine fuite, ses yeux se posaient un instant pour la première fois de sa vie. Elle s’obligeait à cacher sa surprise, à dominer une curiosité qu’elle aurait pourtant bien aimé tenir en éveil et ardente pour vaincre l’état d’assourdissement et de vertige où la plongeaient le grondement rythmé des roues et l’illusion de ces haies, de ces arbres, de ces collines qui fuyaient.
Elle était en chemin de fer pour la première fois. A tout moment, a chaque tour de roue, elle avait l’impression de pénétrer, de progresser dans un monde inconnu qui venait soudain de se créer dans son esprit avec des apparences qui, aussi proches qu’elles fussent
, lui semblaient cependant pour ainsi dire lointaines et l’emplissaient, mêlées au plaisir que lui procurait leur vue , d’une tristesse très subtile et indéfinissable : la tristesse de sentir qu’elles avaient toujours existé au delà et hors de son existence et de son imagination ; la tristesse de se sentir parmi elles étrangère et de passage et que, indépendamment de sa personne, elles continueraient à vivre pour elles-mêmes, avec leurs propres vicissitudes.
Voici les humbles maisons d’un village : des toits et des fenêtres, des portes, des escaliers, des rues ; la population qui y habitait était ainsi qu’elle-même l’avait été tant d’années durant dans son bourg, enfermée dans ce carré de terre avec ses habitudes et ses occupations ; au delà de ce que les yeux arrivaient à voir, rien d’autre n’existait pour les gens. Le monde était un rêve : … »
#924
Posté 05 mai 2009 - 10:41
#925
Posté 05 mai 2009 - 11:07
Le voyage se voit / nu / rien d'autre que l'autre
L'autre / L'homme cet inconnu / Sujets de thèses diverses et variées / Gros bouquins
#926
Posté 05 mai 2009 - 12:29
L'autre / L'homme cet inconnu / Sujets de thèses diverses et variées / Gros bouquins
Gros bouquins / quinquina / naturellement
#927
Posté 05 mai 2009 - 05:30
#928
Posté 05 mai 2009 - 05:48
naturellement/d'instinct/Flair/Ric/la prise en quatre
la prise en quatre / à la six quatre deux / j'aime à moitié
#929
Posté 05 mai 2009 - 09:43
#930
Posté 05 mai 2009 - 10:03
j'aime à moitié/ni chaud ni froid/tiède/bof...
Bof / officiellement / menterie