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Nuit BLANCHE...nuit verte, nuit bleue, nuit noire, nuit d'OR


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34 réponses à ce sujet

#31 charly java

charly java

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Posté 18 octobre 2007 - 11:43

De grande amoureuse, amante de la passion, me voilà par tes mots, Charly Java, métamorphosée en belle courtisane jouant de la cithare, et baignant de ses pétales éparpillés de douces eaux subtilement épanchées, auprès d'Apollons de passage...Oui, Charlie me connaît sans doute et peut-être bien plus que je ne le crois.
Cette nuit léopard n'était pas parisienne, c'était une nuit capitale, blanche aux parfums de péchés capiteux et un rien sulfureux...le cygne blanc manifestera-t-il de l'Impatience, plantera-il son couteau au milieu de l'énigme proche à présent d'être élucidée? Une multitude de petits cailloux blancs ont été savamment distillés, par une jolie fleuriste qui joue de la cithare, la musique quel bel Art! Je te fais de grosses bises, signe blanc, cygne blanc que je subbodore à présent proche de l'Impatience de dénouer le fil d'Ariane de ce poème des Mille et Une Nuits. Une joueuse de cithare qui pourrait bien encore se transformer en Shéhérazade...et ou en chat(te) donnant sa langue à une énigme, sans plus avant donner de fil à retordre à Charly Java et Charlie.



Avant de te transformer en Shéhérazade, prends ta cithare et prends mon bras. J'ai loué un smoking aux bords de manches pas trop élimés, histoire de faire un peu prince charmant, espion de haut vol. Tu aimes Magritte, les surréalistes, tu dois aussi connaître et aimer Paul Delvaux. Alors, je t'emmène "Entre moules-frites et mouettes" où passent, furtivement, de longues jeunes-filles blondes belles comme des frissons, comme des diamants insolites. Y passe aussi La Passagère, qui précise l'adresse de la maison que Delvaux habita, transformée en musée. Tu pourras, d'un petit air, y charmer les mouettes, et puis, cela nous rapprochera d'Amsterdam même si ne s'y trouve pas forcément le dernier mot de l'histoire...
Allez, je t'attends, pour te faire encore de grosses bises.

#32 Fleur de Lotus

Fleur de Lotus

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Posté 19 octobre 2007 - 12:26

Avant de te transformer en Shéhérazade, prends ta cithare et prends mon bras. J'ai loué un smoking aux bords de manches pas trop élimés, histoire de faire un peu prince charmant, espion de haut vol. Tu aimes Magritte, les surréalistes, tu dois aussi connaître et aimer Paul Delvaux. Alors, je t'emmène "Entre moules-frites et mouettes" où passent, furtivement, de longues jeunes-filles blondes belles comme des frissons, comme des diamants insolites. Y passe aussi La Passagère, qui précise l'adresse de la maison que Delvaux habita, transformée en musée. Tu pourras, d'un petit air, y charmer les mouettes, et puis, cela nous rapprochera d'Amsterdam même si ne s'y trouve pas forcément le dernier mot de l'histoire...
Allez, je t'attends, pour te faire encore de grosses bises.

Prince charmant, au smoking élégant, je prends ton bras, me glisse avec toi au milieu de ces longues jeunes-filles blondes et souvent nues, oui, je connais et aime Paul Delvaux. Ce matin me suis aperçue que je l'avais oublié sur ma liste, égrénée dans ton poème Impatience, où des fils de l'énigme se dénouent aidés en cela par un gentleman-cabrioleur, un James Bond séducteur.
Un clin-d'oeil à la Passagère du Silence que je salue sur sa digue d'Ostende et qui nous donne l'adresse de ce musée de Paul Delvaux que je me ferai une joie d'aller visiter. Leda, le Cygne Blanc, 1948...oui se rapprocher d'Amsterdam même si on n'y trouve pas forcément le dernier mot de l'histoire.

En guise d'apéritif à cette soirée de révélation, un amuse-gueule, gratté ce matin, de mes mains joyeuses:

Regards des poètes sur cet imaginaire
Cette étrange atmosphère
Et leurs pertinents commentaires
Qui prolongent ce même imaginaire

Part de rêve dans la réalité
Réalité qui s'insinue dans nos rêves

Padej et son regard
Sur la femme léopard
Celui qui Sait les fantasmes déshabiller
Au pays de rêves animés
Angelheart et les Mille et une Nuits
Et sa lumière qui luit

Magie d'un mystère
Dénoué par une enquête policière
Aux rebondissements exemplaires
Menée par un James Bond 007 facétieux
Un Charly Java dans ses mots audacieux
Et son accolyte Charlie aux diamants éternels
Leurs jeux de mots si malicieux
Démêlant le fil de cette nuit sensuelle

Et voici le fin mot de l'histoire
De cette Nuit Blanche, d'Or, belle nuit noire.

Nuit Blanche 2007 Bruxelles
nuit du 29 septembre au 30 septembre 2007
Le temps d'une nuit, elle aura mis en scène les 7 Péchés de la Capitale, qu'ils soient "mignons", capitaux, contemporains, réels ou imaginaires..."La Nuit Blanche se veut la vitrine vivante de la création artistique contemporaine et des talents émergents de Bruxelles. Elle mise sur l'insolite afin de permettre à chacun d'entre vous d'explorer des ambiances, des histoires, des lieux avec un regard neuf et captivé." Ah ça oui on aura été captivé! La femme léopard...

Le poème a été écrit au petit matin, le 30 septembre 2007.

Sur ce film d'une Nuit Blanche:

Dans les rôles clés:
Bruxelles, Nuit Blanche 2007
Les 12 musiciens et le DJ "Sacrilège" Les sept péchés cachés de JS Bach
La Cathédrale St Michel et Gudule
Les illuminations de la Grand Place "Temporary Insanity" by Pinaree Sanpitak
Sa brume verte et ses réverbères bleus, une oeuvre monumentale thaïlandaise interagit avec le public: cris, ondulations, vibrations...
Les Bruxellois et Bruxelloises, les touristes de passage
Amoureux et amoureuses
Les bandes de grands ados et leurs cris et leurs chants
L'atmosphère bon enfant
pour une nuit bien festive

il y a les rôles secondaires, liste trop longue à faire

et les actrices principales, et pour cela rendez-vous sur un autre message, celui qui suit, laisser le mot de la fin...à la femme léopard...

D'énormes bises au prince charmant des mots époustouflants pour m'avoir accompagnée au bout de ce feuilleton et de cette aventure. La joueuse de cithare. Et de grosses bises à Charlie et Padej.

#33 Fleur de Lotus

Fleur de Lotus

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Posté 19 octobre 2007 - 12:42

Avant de te transformer en Shéhérazade, prends ta cithare et prends mon bras. J'ai loué un smoking aux bords de manches pas trop élimés, histoire de faire un peu prince charmant, espion de haut vol. Tu aimes Magritte, les surréalistes, tu dois aussi connaître et aimer Paul Delvaux. Alors, je t'emmène "Entre moules-frites et mouettes" où passent, furtivement, de longues jeunes-filles blondes belles comme des frissons, comme des diamants insolites. Y passe aussi La Passagère, qui précise l'adresse de la maison que Delvaux habita, transformée en musée. Tu pourras, d'un petit air, y charmer les mouettes, et puis, cela nous rapprochera d'Amsterdam même si ne s'y trouve pas forcément le dernier mot de l'histoire...
Allez, je t'attends, pour te faire encore de grosses bises.

Et je prends ma cithare et je prends ton bras, vers la Villa des Mystères...
Et la suite, les actrices principales qui auraient plu sans doute à Paul Delvaux:

Vitrines de scène by Blast
Woutwalt, Rue du Pont Neuf 3
Entre voyeur et voyant, le public de la scène comme de la vitrine se laisse prendre à son instinct le plus naturel: la curiosité.

Les décors:
La Boutique Espace Bizarre
La Boutique Bellexose
La Boutique Shampoo Conditioner (celle de la Femme Léopard)
La rue noire et presque glauque
La lumière étonnante de ces vitrines

Les actrices:
La perruque rousse
La robe blanche
La robe longue et ses deux partenaires féminines

Et...et...La Femme Léopard.

Et un dernier poème pour la route...le dernier mot...d'amour...pour la Femme Léopard...Allez, on lui doit bien ça!

Nuit démystifiée
Secrets envolés
Et pourtant qui sait?
La magie elle est bien restée
D'une nuit blanche inégalée
De son surréalisme éclairé
Et de sa femme léopard
Ouverte à nos regards
Ouvrant une porte étrange
Peut-être celle des anges
Anges ou démons
Son corps habillant les sons
Une porte au milieu de Nulle part.

Bruxelles, Nuit Blanche 2007, 29 septembre au 30 septembre 2007

Ecrit ce matin, 19/10/07

Et encore d'énormes bises à Charly Java et plein de bises à Charlie. La joueuse de cithare.

#34 charly java

charly java

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Posté 19 octobre 2007 - 10:22

Et je prends ma cithare et je prends ton bras, vers la Villa des Mystères...
Et la suite, les actrices principales qui auraient plu sans doute à Paul Delvaux:

Vitrines de scène by Blast
Woutwalt, Rue du Pont Neuf 3
Entre voyeur et voyant, le public de la scène comme de la vitrine se laisse prendre à son instinct le plus naturel: la curiosité.

Les décors:
La Boutique Espace Bizarre
La Boutique Bellexose
La Boutique Shampoo Conditioner (celle de la Femme Léopard)
La rue noire et presque glauque
La lumière étonnante de ces vitrines

Les actrices:
La perruque rousse
La robe blanche
La robe longue et ses deux partenaires féminines

Et...et...La Femme Léopard.

Et un dernier poème pour la route...le dernier mot...d'amour...pour la Femme Léopard...Allez, on lui doit bien ça!

Nuit démystifiée
Secrets envolés
Et pourtant qui sait?
La magie elle est bien restée
D'une nuit blanche inégalée
De son surréalisme éclairé
Et de sa femme léopard
Ouverte à nos regards
Ouvrant une porte étrange
Peut-être celle des anges
Anges ou démons
Son corps habillant les sons
Une porte au milieu de Nulle part.

Bruxelles, Nuit Blanche 2007, 29 septembre au 30 septembre 2007

Ecrit ce matin, 19/10/07

Et encore d'énormes bises à Charly Java et plein de bises à Charlie. La joueuse de cithare.


Et voilà, une fin en apothéose: je me doutais bien que tu gardais quelques munitions, que tu n'allais pas aller te rhabiller, d'ailleurs ton rôle ne te le permettait pas...Et comme tu étais superbe en robe du soir moulante, au décolleté provocant où coulait la dernière rivière de diamants à miser...
Mais on entend le générique de fin...un air de cithare agile et envoûtant...
Ne manque plus que que le long baiser langoureux ( de cinéma)...
Les spectateurs en auront les larmes aux yeux...
...je t'embrasse donc voluptueusement...

#35 Fleur de Lotus

Fleur de Lotus

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Posté 22 octobre 2007 - 08:44

Et voilà, une fin en apothéose: je me doutais bien que tu gardais quelques munitions, que tu n'allais pas aller te rhabiller, d'ailleurs ton rôle ne te le permettait pas...Et comme tu étais superbe en robe du soir moulante, au décolleté provocant où coulait la dernière rivière de diamants à miser...
Mais on entend le générique de fin...un air de cithare agile et envoûtant...
Ne manque plus que que le long baiser langoureux ( de cinéma)...
Les spectateurs en auront les larmes aux yeux...
...je t'embrasse donc voluptueusement...

Et sous les yeux éblouis des spectateurs, toi, en séducteur magnifique dans ton élégant smoking noir, tes yeux à la Clooney rivés sur...mon décolleté provocant (où j'aurais caché deux très beaux diamants...c'est un secret...), ton regard facétieux, ton air décidément terriblement charmant, sur un air de java, tu m'inclineras, chute de mots, chute...de reins...chuuuuttt...et cette fois, plus un mot, plus un bruit, nos lèvres s'uniront en un long, très long baiser vertigineux (de cinéma)...et dans ce New York Movie à la Edward Hopper, le rideau de velours rouge intense se fermera, doucement, délicatement, très lentement, sur ce baiser ardent et impertinent où s'écriront en lettres de Feu le mot FIN.
...et je t'embrasse donc silencieusement et longuement...