Histoire de portes
Quand une porte s’ouvre quelque part
Une autre se ferme
Par la fenêtre entrebâillée
A la lisière de demain
Je vois un oiseau qui lisse ses ailes
Où t’envoleras-tu bel oiseau blanc
Reviendras-tu jamais là où les cœurs soupirent
O oiseau du temps
O mon destin
La mort étend son aile aux portes du silence