Dépose de fer sine qua non au revers de mirage,
L'escalier sans fin donne finalement un esthète.
Assis en tailleur, les pouces joints,
Son armure d'or ne semble lui peser.
Mandala aux yeux fermés,
Barugo no shaka.
Sixième maison.
L'allée de cerisier est vitrine,
Lisse illusion de ciel peint.
Le phœnix rutilant est puisé,
Un regard mêlé au jasmin.
Le bras gauche se meut.
Les pétales de cerisier se détachent
Se mue cerceau oliban.
Les yeux en ce noir s'ouvrent
Au mur de mandalas.
Tenbu Hôrin!
Le premier sens disparaît.
Les suivants ne tarderont guère,
Chevilles de terre aux rives Elysées.
La perte de la pensée,
L'absolu harmonique l'avait prédit.
Sauve-toi, ikki.
Les portes du jardins cadenas ont volé en éclats.
Le cosmos emmagasiné dûment égoïste,
Replis flamboyant au paroxysme ailé.
Chevalier de la Vierge,
Béatitude sans emprise.
Les arbres jumeaux de Shala ont pris forme.
Le phœnix transcendé danse son frère
Marqué dans la sève,
Samsara comme dernière demeure.
Modifié par FlyingK, 09 juin 2014 - 06:02 .