Il est un village que dominent des cîmes...
Que jalousement protègent des abîmes,
Quelque part où nuages et verdures
De tous vos sens vous comblent de nature:
Vertes falaises, au loin sombres forêts
Apaisent tout regard... et même de près
Herbes folles, discrètes fleurs sauvages
Ne vous charment pas moins davantage !
Il est parfois des matins embaumés
De mille et une senteurs entremêlées
Que discrètement paix et douceur de la nuit
Remportent, complices du jour qui fuit.
Cascades frivoles, vent dans les ramures,
Oiseaux malicieux... autant de murmures
Guident bien souvent votre regard
Ici, là-bas, partout et nulle part,
Vers ces cîmes, ces abîmes, vers Tsilaozàna
Ce lieu de l'histoire " que l'on ne quitte pas "
Cilaos! l'on devait jadis y mourir !!!
... Que continue l'histoire qui ne doit pas ... finir !
de Fitiavana. 2014