Posté 13 juillet 2014 - 03:37
J'ai dû mal m'exprimer ( je n'en crois pas un mot, mais c'est une formule toute faite, en quelque sorte un syntagme figé, pour dire que ce sont les autres qui m'ont mal compris). Donc, j'ai dû mal m'exprimer, car je n'ai fait que répondre à l'Archange qui souhaitait expliquer rationnellement a posteriori, c'est à dire rationaliser, la rupture entre 17heures et 30. (le temps qui rompt l'éternité ...)
Je n'ai pas la prétention d'analyser un poème selon un ratio, tout d'abord parce que, pour moi, plutôt matheux de formation (ça se voit, non?), un ratio est un rapport entre deux grandeurs et non une logique ou un raisonnement. Un poème, dans ses détails de construction, n'a pas à être nécessairement logique, mais s'il rompt avec la logique, il doit y avoir une raison, un intention. Cela peut-être notamment, je pense, un souci 'de la musique avant toute chose. Et pour cela', selon l'archange, michelconrad aurait préféré cette rupture. Rupture que j'ai contestée dans mon commentaire précédent. Il me paraissait apparent que ma proposition de rupture, (...sonnent dix / sept ...) était une blague. Je ne sais pas et ne souhaite pas utiliser les smileys ou les divers signes conventionnels qui, paraît-il, indiquent par des expressions faciales rudimentaires qu'on like, qu'on like pas, qu'on plaisante ou qu'on regrette. Quelques fois, ce serait mieux.
Pour résoudre cette question angoissante concernant la rupture entre 17 h et 30, comme au théâtre aux soirs de succès, on demande l'auteur, l'auteur, l'auteur....(qui doit d'ailleurs bien s'amuser dans son coin).