Que ton silence vu balance d'un bruit noir
Et l'ombre sulfatée à la surface sûre
Des vents pires qu'accrocs : je sens bien la morsure
Élargir de son rythme un fruit du promenoir...
Je le sais ! C'est visible un mutisme ! Et le voir
N'a pas d’égalité... ni même de mesure.
Sécateur de mon temps, l'atome est une usure,
Qui pompe, perce et prend ce corps qu'il veut avoir
Comment supportes-tu le glas de cette armoire ?
Dans sa glace, vois-tu, ce Peu de la mémoire
D'un cil en ce bris matte et penderie au mur
Fléchit en son dedans et réfléchit en moire !
L'oripeau du passé, l'habit que l'on dit mûr :
C'est dans ton pot pourri que je voudrais te boire....