pour toutes ces chansons, au refrain de passion,
mettant notre présent aux conquêtes du graal,
pour des élus , sans fond, cherchant la digression.
Quand de leurs doigts transis, ils nous montrent la lune,
afin que vers le ciel , on ne voit pas la boue
qui macule nos pieds, c'est bien pour qu'à la une,
on voit dans le journal, les faits par l'autre bout.
Tous ces épouvantails , sont là pour les oiseaux,
pour bien les empêcher de grignoter le blé
que récoltent tous ceux , qui tiennent les gerseaux.
Ce n'est , on le sait bien , que le vent et le temps,
qui autour de ces airs, pourront nous rassembler,
sachant que quoi qu'il soit , viendra bien le printemps
et qu'on ne fait pas hier , en marchant en arrière ...
Moietmoi octobre 2014