Libérez les femmes du kurdistan irakien
Il me vint cette pensée, que j'ai aussitôt oubliée
Est-il necessaire d'écrire, plus encore et encore
Je ne me souviendrais jamais de mes pensées
Parfois ce que j'oublie que ce n'est que pécore
Je sais de ces auteur anciens de ces grands sages
Qui nous lançaient; des malédictions, de mauvais présages
Comme s'il y avait, ici et là quelques mauvaise choses
Dans tous nos bavardages idiots et nos toutes petites causes
Je ne saurais trop vous parler de cette bonne Vérité
Non monsieur! Il y a bien trop d'une grande vanité
Car moi! Je sais aussi des grandes horreurs à ce jour
Oui! Cette vérité, elle reste celle de la liberté permise
Et non pas celle de ces fous qui l'ont mal comprise
Entre un triste viol, une esclave, une vie sans amour