77 réponses à ce sujet

[M. de Saint-Michel]

Sur l'arène ocre des jours la femme-fleur s'avance
Elle n'a que faire des villes aux tours d'orgueil
où vomissent les bonheurs d'une foule sans nom
Le parfum qui la vêt brandit haut sa flamboyance

Sur le marbre des amours la femme-reine chante
Elle n'a que faire des regards gorgés d'oubli
où la moindre des caresses retombe en dégoût
Le délice qui l'étreint est parole violente

Sur le vertige des coeurs la femme-fée se penche
Elle n'a que faire de l'algèbre des faux dieux
où vivre se calcule au nombre noir des charniers
La beauté qui la révèle ouvre un ciel de pervenche

Sur le drap des soumissions la femme-nuit se cambre
Elle n'a que faire des sagesses de ce temps
où la sève des légendes se perd dans un puits
Le cri qui l'éjouit rougit les neiges de décembre

Sur les feuilles du désir la femme-flamme danse
Elle n'a que faire de ces panthéons glacés
où risiblement s'émiettent momies et vertus
La soif qui l'inspire au-delà des affres s'élance

[Pas radis]

Bonjour Michel,

 

L'éternel féminin ..... qui nous fascine dans nos écrits, nos rêves .... nos rêves .... no dreams ??

Félicitations et merci pour ce partage.

 

Bien cordialement Tien,

Philippe.

[M. de Saint-Michel]

Bonjour Michel,
 
L'éternel féminin ..... qui nous fascine dans nos écrits, nos rêves .... nos rêves .... no dreams ??
Félicitations et merci pour ce partage.
 
Bien cordialement Tien,
Philippe.

Oui, l'éternel féminin: imaginerait-on Tristan sans Yseut, Orphée sans Eurydice?
Merci à toi.

[Pas radis]

Oui, l'éternel féminin: imaginerait-on Tristan sans Yseut, Orphée sans Eurydice?
Merci à toi.

 

Moi sans Germaine ? Ô que oui !!

[M. de Saint-Michel]

Moi sans Germaine ? Ô que oui !!

Pauvre Germaine!!😄😄

[hasia]

Une symphonie à La Femme révélée.

Avec vos mots candeur.

Avec vos mots douceur.

Arpège d'infini..

Puissant.

Et beau.

                                                                                                                                                                                 "La beauté qui la révèle ouvre un ciel de pervenche."
 

hasia

[M. de Saint-Michel]

[quote name="hasia" post="309310" timestamp="1444491730"]

Une symphonie à La Femme révélée.

Avec vos mots candeur.

Avec vos mots douceur.

Arpège d'infini..

Puissant.

Et beau.

[i]hasia[/

Je ne saurais assez vous remercier pour de telles paroles... qui me vont droit au cœur.
En toute amitié.

[MarieJeanne]

N'importe quelle femme dans chaque situation est la dominatrice 

Elle sait maîtriser la situation, jamais baisser des bras, 

Marcher sans tomber, comptant toujours sur elle-même

Tes vers sont parfaitement adapter au personnage de femme 

Bravo

[M. de Saint-Michel]

N'importe quelle femme dans chaque situation est la dominatrice 
Elle sait maîtriser la situation, jamais baisser des bras, 
Marcher sans tomber, comptant toujours sur elle-même
Tes vers sont parfaitement adapter au personnage de femme 
Bravo

Merci beaucoup pour ce commentaire...

[MarieJeanne]

Merci beaucoup pour ce commentaire...

Mes ressentis et mes vécus que ma plume a posé ici...

[M. de Saint-Michel]

Mes ressentis et mes vécus que ma plume a posé ici...

C'est bien ainsi que je l'avais compris...

[Hattie]

Sur le fond, en tant qu'elle, je n'y reconnais pas la femme.

 

Si ce n'est une femme de vieux artifices poétiques.

[hasia]

Bonjour Hattie,

Sur l'arène ocre des jours la femme-fleur s'avance
Elle n'a que faire des villes aux tours d'orgueil
où vomissent les bonheurs d'une foule sans nom
Le parfum qui la vêt brandit haut sa flamboyance
 

 

J'ai peine à croire, que, Vous, restiez insensible à ce trait d'écriture ...

Dont la flamboyance du dernier vers, pourrait, peut-être, enchanter...

 

hasia

[Hattie]

C'est très gentil, Hasia, mais sincèrement, ce poème ne me touche pas,

peut-être justement qu'il y a trop de '' flamboyance ''.

Je crois être plus ancrée dans le concret, et beaucoup moins dans le superlatif.

même si j'ai les yeux d'une rêveuse. Plein de choses m'enchantent, mais pas ceci.

 

Merci pour l'interpellation.

[AURE]

Je partage l'avis

de Hattie

la réalité de la femme

ici et ailleurs

n'est pas celle-ci

 

le poète doit-il

rendre

la crudité / cruauté

de notre société

ou

le monde

tel qu'il souhaiterait le voir

 

c'est tout un débat

[Pas radis]

Bonjour Mesdames ( Les vraies bien sûr ),

 

Quand vous aurez fini de vous prendre pour des déesses infortunées il fera plus beau qu'aujourd'hui, quand ma mère et beaucoup comme elle se sont très durement battues au péril de leur liberté elles ne pensaient certainement pas comme elle me l'a dit " que vous deviendriez encore plus stupide que les hommes".

Ou préférez-vous cette phrase dite par un fleuron des votres Madame Zazie " Je fais partie de cette génération de femmes à qui on a donné les moyens de tout faire et qui ne font rien ! ".

Alors pour appuyer encore un peu plus l'extrème beauté du poème de mon ami Michel je vous dit moi ceci :

" Sentimentalité c'est des mots peints en bleu et des rêves merveilleux qui coulent sur une larme dans vos yeux" (faudrait-il encore que vous les ouvriez .... A vous écouter je comprends mieux pourquoi je vis seul avec mon chien)

 

Bien cordialement votre,

Philippe.

[Hattie]

(sur le même ton)

 

 

... alors, bonne vie avec votre chien !

perso, je vis avec un homme merveilleux !

pas un pet '' déesse infortunée '', plaît-il ? !

 

enfin bref......................

[Pas radis]

Le bref vous va à ravir moi j'aurais ajouté limitée, mais bon ..... c'est sûr qu'il doit être merveilleux ce pauvre homme

 

Quand vous voulez .....................

[Hattie]

A ravir... mais vous ne me l'ôterez point

 

ah ah aha ah !

[Pas radis]

Je vous trouve bien présomptueuse, donnez-moi une adresse pour vos prochains klinex chère déesse infortunée

[Hattie]

Est-on censé rire, ici ?
 
Parce que tant que '' vous '' me trouvez '' présomptueuse '', tout va bien, encore. Contrairement à vous, je ne commente ni un '' ami-Michel '', ni un homme mais bel et bien un texte. Ce qui me laisse mille fois plus libre de mes mots. et n'ai, à aucun moment, besoin de ponctuer par un présomptueux '' Tien '' ou '' Votre '', frisant non pas la modestie dont vous vous réclamez sans cesse (!!) mais la présomption. - A-t-on besoin sans arrêt d'en référer à la '' modestie '' quand cette qualité nous habite réellement ? Sérieusement, non. Autant j'ai apprécié l'interpellation de Hasia, autant votre interpellation, permettez-moi de le dire, est stupide, et arrogante, sous votre humour primesautier ! Que savez-vous de mes (nos) combats de femme ? Dites-moi ? Rien.

Bonjour Mesdames ( Les vraies bien sûr ),
 
Quand vous aurez fini de vous prendre pour des déesses infortunées il fera plus beau qu'aujourd'hui, quand ma mère et beaucoup comme elle se sont très durement battues au péril de leur liberté elles ne pensaient certainement pas comme elle me l'a dit " que vous deviendriez encore plus stupide que les hommes".
Ou préférez-vous cette phrase dite par un fleuron des votres Madame Zazie " Je fais partie de cette génération de femme à qui on a donné les moyens de tout faire et qui ne font rien ! ".
Alors pour appuyer encore un peu plus l'extrème beauté du poème de mon ami Michel je vous dit moi ceci :
" Sentimentalité c'est des mots peints en bleu et des rêves merveilleux qui coulent sur une larme dans vos yeux" (faudrait-il encore que vous les ouvriez .... A vous écouter je comprends mieux pourquoi je vis seul avec mon chien)
 
Bien cordialement votre,
Philippe.

A défaut de truffes, je m'en vais ramasser des châtaignes !

[Pas radis]

Eh bien, Eh bien, le maquillage ruisselle ?

 

Vous aimez à répondre dans le vide, très bien, vous perdez votre sang froid encore mieux, vous cherchez à faire mal c'est parfait cela prouve si c'était encore à démontrer votre stérile prétention que je touche au plus au point, vous reprenez mes mots comme une élève de CM2 passe encore. Maintenant comparer votre écriture à celle de mon ami Michel là vous me faites trop rire. Ma modestie, je vous la renvoie à la face car aucun de vos faits d'armes féministe ne me sont connus ce qui prouve s'il le fallait qu'ils sont insignifiants.

Maintenant si jaspiner vous plait et que vous n'avez rien d'autre à faire, c'est très bien, ce n'est pas mon cas, alors je vous en prie allez étaler votre suffisance un peu plus loin, vous ne n'aimez pas rassurez-vous je vous le rends bien.

 

Bien cordialement VOTRE, déesse infortunée.

[Hattie]

Vous argumentez absolument n'importe quoi. Ai-je comparé, à un quelconque moment, mon écriture à celle de X ou Y, ici à celle de votre ami Michel ????  Je ne crois pas, non. Par ailleurs, il m'en faut un chouia plus pour perdre mon sang-froid. Ce ne sont là que prétentions, de votre part, et vos arguments décousus. Ne prenez pas vos désirs pour des réalités. Bye bye...................

[Pas radis]

Vous voulez avoir le dernier mot dans votre colère stérile, va au diable, vous êtes vraiment, mais vraiment trop stupide, je ne vous salue plus.

[Hattie]

Je ne vais pas m'en remettre !

[Pas radis]

Je vais fêter cela avec un bon verre !

[Hattie]

Eh bien, Eh bien, le maquillage ruisselle ?
 
Vous aimez à répondre dans le vide, très bien, vous perdez votre sang froid encore mieux, vous cherchez à faire mal c'est parfait cela prouve si c'était encore à démontrer votre stérile prétention que je touche au plus au point, vous reprenez mes mots comme une élève de CM2 passe encore. Maintenant comparer votre écriture à celle de mon ami Michel là vous me faites trop rire. Ma modestie, je vous la renvoie à la face car aucun de vos faits d'armes féministe ne me sont connus ce qui prouve s'il le fallait qu'ils sont insignifiants.
Maintenant si jaspiner vous plait et que vous n'avez rien d'autre à faire, c'est très bien, ce n'est pas mon cas, alors je vous en prie allez étaler votre suffisance un peu plus loin, vous ne n'aimez pas rassurez-vous je vous le rends bien.
 
Bien cordialement VOTRE, déesse infortunée.

[Pas radis]

[M. de Saint-Michel]

Sur le fond, en tant qu'elle, je n'y reconnais pas la femme.
 
Si ce n'est une femme de vieux artifices poétiques.

C'est parfaitement votre droit de ne pas aimer...

Je partage l'avis
de Hattie
la réalité de la femme
ici et ailleurs
n'est pas celle-ci
 
le poète doit-il
rendre
la crudité / cruauté
de notre société
ou
le monde
tel qu'il souhaiterait le voir
 
c'est tout un débat

Qu'est-ce que la "réalité" de la femme? Ou, d'ailleurs, la "réalité" de qui que ce soit ou de quoi que ce soit? Nous avons chacun une vue nécessairement subjective du Réel: vous avez la vôtre, tout à fait légitime; j'ai la mienne - qui ne l'est ni plus ni moins...

[Victorugueux]

La Femme avec un article défini

Et avec une  majuscule je n'en connais pas

Dans ma vie je ne vois que des femmes

Et elles sont ainsi toutes différentes

 

De celle-ci unique que vous décrivez si parfaite

La Femme toute faite selon vos propres désirs 

Mais les femmes, elles sont  toutes vivantes et réelles

Et elles vivent des histoires bien particulières