Il n'y a rien de naïf à croire en la bonté des hommes. C'est même rechercher une part de génie.
Même avec cette volonté de distance je ne peux pas vivre dans un monde et un temps ennemi.
Je ne veux pas non plus m'aguerrir et durcir mon âme pour vivre en étouffant.
Pourtant la faiblesse d'un seul entraîne ce constat de meute, cette aptitude à être charognard.
Et l'amour filial en tout cas les liens fait au ventre deviennent un duel avec ces vaincus.
Et si je ne peux vivre cela, avec cela, sans pouvoir tenir droit, en compagnie de rats.
Je n'arrive plus à percer le périmètre des choses alentours, à me soustraire et à finir par une légèreté ivre.