La lâcheté, c'est de pétrir ses tripes au mépris d'allergie chronique,
et de ne pas oser regarder en face la misère en otage terre-à-terre prise
pour la plaquer à mensonge de honte en justifiant le mérite aux ornières en nombre.
La lâcheté, c'est de noyer ses yeux au whyski de troubles amers,
et de ne pas tourner le regard en otage de peine en peine ferme,
pour les sonder à la chair du mystère en auscultant les organes en doutes sévères.
La lâcheté, c'est de beugler ses beuh… aux pâturages herbeux du confort,
et de ne pas penser seul ses idées en otage de canon en canon d'accords,
pour nous réduire en ombres bêtifiant de vérités le comble alambiqué à tort,
au désordre oeuvrant souvent la mort.
