Les tripes,comme elles ont fondues
Et le calcaire a succédé au sang.
Délitement du corps,
Rupture crânienne ,il y a des ligaments autour de mes semaines.
Côtes floues.
Cette cage,c est décrépi qui remonte au regard, noir broyeur du souvenir d un chant.
Abraser,c est comme vouloir poser une mémoire sur les choses.
Comme elles sont froides ces choses dans ce train aux voix molles.
Devenir des os flasques et mourir
Sur les doigts qui s écartent.
Comme les masques qui s encastrent dans de nuls croisements,je porte la débâcle de mes sentiments.
Les choses sont muettes ,la mort regarde droit.
Corps et mutique
Débuté par Passage, janv. 18 2019 02:51
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