Jeune sirène tes ailerons
Se meuvent jusqu'à mes genoux
Approche-toi, asseyons-nous
Main dans la main nous parlerons
Pose la tête sur mon coeur
Et ne crains rien sur ce rivage
Mais méfie-toi de la fureur
Comme la mer devient sauvage
Il est sans fond, il est béant
A la fois doux et tempétueux
Offrant merveilles pour nous deux
Mon cœur ressemble à l'océan
Traduction très libre Minnofabbri d'après Heinrich Heine