Eblouie malgré la boue rouge qui coule,
en intraveineuse dans les corps cloaques de tabous.
Eblouie grâce aux doutes ouverts qui écoutent,
en dégoûtles esprits sans risques aux certitudes sourdes.
Eblouie grâce aux frasques de bazar qui déroutent,
en foule au coeur du libre la vie véritable sans repoussoir qui saoule.
Eblouie malgré le pus jaunâtre qui suinte aux bajoues,
en graisse dans les cous dégouttant une sueur louche.