Cœur qui cogne jusque dans les cavernes de l'esprit,
aux moyens dénudés dictant l'insensé qui éparpille,
au désarticulé du va et vient des soubresauts de l'émotion,
pauvre radeau au dos des vagues dérisoires du sel des passions.
Cœur qui cavale sans confort, sans port de quiétude,
aux directions de carrefour éclaté, nul réconfort à l'aigu
des forces fragiles au déferlement d'émotions,
pauvre carcasse sans espace cassant le temps pour croître jusqu'au but.