Que sont nos paysages devenus...
Lorsque notre imaginaire déborde et se coule dans les champs de notre (in)conscience, altérant parfois notre vision de ce qui est, ou de ce qui n'est plus, du rêve à la réalité, que sont nos tristesses devenues.
Dans les larmes du temps tu plonges ta plume poète, de mille éclaboussures tu noies ton coeur pris dans l'étau d'une liberté aveuglée par...
Un je ne sais quoi qui me touche, peut-être ces espaces dans lesquels je cours moi aussi, peut-être encore ce J majuscule, liberté suprême de s'octroyer le choix de la douleur partagée.
balila
ps : deux petites choses à corriger "tu les as tans rêvées" "tes prairies"
Que sont nos paysages devenus...
Cette nostalgie qui rend à la fragilité de nos petites légendes toute leurs sensibilités, même peut-être celle d'un chagrin qu'on croyait à jamais révolu...Un vague à l'âme qui laisse ses impressions à la lisière de l'inconscient...
...Et le refrain lancinant d'une mélodie nous rappelant que nos désinvoltures ne nous affranchissent jamais de ces peines qui pleurent en silence des libertés qu'on ne soupçonnait pas être nôtres.
Un sanglot digne d'être ressenti dans un moment qui nous saisit et qui déborde nos pudeurs, et notre propre vision d'un monde où nous nous sentons finalement à l'étroit.
S'écrire avec le caractère capital de la singularité.....Comme une majuscule qui nous émancipe des convenances.
Et oui, je pleure...
Merci à toi, Balila.
PS.
J'ai corrigé.
Immobile ou
au bout du monde
Les larmes sont le point d'orgue de tant de voyages...
Elle est là l'immobilité de ce qu'on est...au bout d'un monde qui parfois se révèle à nous-même.
On l'écoute, on le regarde, des larmes dans les yeux. Comme un regret, peut-être....