en des temps pas si vieux deux mille ans c'est hier
les sages de ce temps là n'avaient pas froid aux yeux
c'étaient des hommes instruits qui vivaient au grand air
et passaient leur temps libre à contempler les cieux
les yeux émerveillés devant tant de lumière
Ils n'avaient pas de mots et restait silencieux
Devant de beauté ils préféraient se taire
Malgré tout les plus jeunes ou les plus audacieux
N'écoutant que leur cœur leur récitait des vers
C'étaient de beaux serments quoiqu'un peu prétentieux
Chants d'amour à la femme en l’occurrence la Lune
Dis avec des mots tendres tout à fait délicieux
Ceux qui chantent à la lune ne font jamais fortune
Alain