Ah! Ces traces à peine lisibles
Et ton sourire qui leurs tient lieu
D espace.
Les pays de silence ont l odeur de
Ta chair,
Partout l immensité grandit.
Rêver me revient depuis la terre
Blessée.
Tu palpes son pouls comme
On palpe
Un oracle fluvial.
Alors
Cest ma vie
Qui se déplie dans le mystère
De ta présence.
Le vent souffle sur les saules,
On écoute la nuit veiller.

Que vive
Débuté par Grenade, mars 11 2020 09:52
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